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Ma femme japonaise

Ma femme japonaise, notre vie sexuelle, nos délires, nos moments chauds, très chauds

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hier à 19h42
Après cet intermède pour le moins surprenant, en tout cas pour moi, ce fut un
peu le calme plat. Nous n'en avons pas reparlé pendant des semaines. Aiko
connaissait parfaitement mon envie de la voir avec une autre femme, mais je ne
voulais pas lui demander directement. Connaissant son tempérament et son envie
de tout découvrir, je me suis dit qu'un jour ou l'autre, cela arriverait bien.
L'épisode des toilettes a commencé à me donner raison, la suite le confirmera.

Quelques semaines plus tard (comme quoi notre vie intîme n'est pas si frénétique
que ça), je rentrai un vendredi soir du travail et je trouvais Aiko et Caroline
installées dans le salon autour d'un verre. Le mari de Caroline était en
déplacement professionnel à l'étranger, et Caroline était venue passer la soirée
à la maison.
J'ai cru comprendre que la conversation avait tourné autour des soupçons de
notre invitée sur l'infidélité de son mari. C'est vrai que ce dernier était
souvent en déplacement, de plus en plus d'ailleurs, et que , en plus, Caroline
ressentait mal son insistance pour l'emmener vers des expériences qu'elle lui
avait toujours refusé jusque là (le libertinage, par exemple, la sodomie et même
le simple fait d'avaler son sperme).

Bref, elle n'allait pas bien. Moral dans les chaussettes, verre d'alcool -
régulièrement rempli par ma femme - à la main, elle était venue pour se confier,
dire ce qu'elle avait sur le coeur.
Nous avons donc passé une soirée tranquille, entre confidences et anecdotes,
autour d'un excellent repas. Arrivé au café, Aiko est allée dansla cuisine,
suivie de Caroline, car elles étaients en plein milieu d'une conversation que
j'aurai bien été incapable de poursuivre seul avec notre invitée, vous savez,
des trucs de fille, quoi!
Ne les voyant pas revenir de la cuisine après quelques minutes, je suis allé les
rejoindre. J'ai tout de suite compris que si elles n'étaient pas encore revenues
dans le salon, c'est qu'elles étaient trop occupées.

Aiko avait en quelque sorte coincé Caroline contre l'évier, et lui roulait une
pelle d'enfer, un vrai french kiss passionné. Pour éviter de basculer en
arrière, une moitié de fesse sur l'évier, Caroline avait posé ses deux mains de
part et d'autre de son corps, sur l'inox. Ma femme en profitait pour, d'une
main, peloter ses seins au travers du petit pull moulant qu'elle portait, et de
l'autre main maintenir la tête de son amie fermement contre son visage, au cas
où elle aurait tenté de se dérober à cet sensuel assaut.
Précaution inutile, Caroline avait l'air 100% consentente.

Je restais là, dans l'embrasure de la porte, sans rien faire, comme fasciné.
Caroline fermait les yeux et se laissait faire complètement. Aiko m'a entendu,
et m'a fait signe de partir. Un peu déçu (non, énormément déçu), je retournais
dans le salon m'asseoir sur le canapé et prendre une revue.
Deux minutes après, Aiko et Caroline sortait de la cuisine, mais dans la main.
Aiko glissa quelques mots à l'oreille de son amie, qui prit la direction de
notre chambre à coucher. Puis elle me fit signe de les rejoindre dans 10
minutes. Autant dire que les 10 minutes suivantes me parurent exagérément
longues!

Après donc 10 minutes passées à essayer de lire un quelconque article, dont je
relisais indéfiniment la phrase d'ouverture tant mon attention était portée vers
ce qui, espérais-je, aller se passer, je me dirigeais vers notre chambre à
coucher, au bout du couloir. Cette chambre qui en avait déjà vu des vertes et
des pas mûres, mais qui, ce soir, allait abriter une tape décisive dans notre
chemin vers une sexualité complètement libérée.


02/01/08 à 20h17
Nous ne sommes pas devenus du jour au lendemain des adeptes forcenés du lbertinage. Cela s'est fait vraiment petit à petit, presque naturellement, sans que nous soyions dit un jour "Tiens, si on baisait avec d'autres?".

La première fois que l'idée à germé dans nos coquins esprits, vous l'avez vu, c'est lorsque nous avons utilisé un sex toy. Aiko a pour la première fois eu dans ses orifices deux corps étrangers simultanément, et l'expérience ne lui a
pas déplu, loin de là.

Le deuxième fois fût lors d'une soirée tout ce qu'il a a de plus classique chez des amis. Nous étions 3 couples, plus le couple qui nous avait tous invités. Rassurez-vous, la soirée ne s'est pas finie en orgie, mais il s'est tout de même
passé un évènement intéressant.

En milieu de en fin de repas, précisément au moment du café, nous étions tous sortis de table et installés dans le salon (certains sur les fauteuils, d'autres debout, d'autres dans la cuisine à aider la maîtresse de maison).

Aiko vient alors me glisser à l'oreille qu'elle artait au toilette soulager une envie pressante, et, en s'éloignant, me fit un petit sourire. Comme je connaissais à bien connaître ma femme (oui, à ce moment, nous étions déjà mariés, j'y reviendrai par la suite), j'attendis 2 minutes, et je la rejoignis.

Bien sûr, elle n'avait pas fermé la porte des toilettes à clé, et elle m'attendait assise sur le siège (elle avait réellement envie de se soulager). Je refermais la porte derrière moi et m'avançais vers elle. Quand elle m'a demandé de fermer la porte à clé, je n'ai rien dit. Je ne l'ai pas fait, à mon tour d'essayer de la surprendre. A tout moment nous pouvions être découverts, et pour une fois, dans l'escalade de notre vie sexuelle, c'est moi qui prenais l'initiative. Je crois que ça l'a excité encore plus!

Pas encore arrivé devant elle, elle s'est penchée et m'a agrippé par le jean pour m'attirer juste à sa hauteur. Elle s'est jetée fébrilement sur ma braguette, en ayant beaucoup de mal à l'ouvrir, car elle tremblait presque d'excitation.

Une fois déboutonné, elle a sorti ma queue et l'a enfoncé profondément dans sa bouche.

La tension générée par la porte ouverte (enfin, non fermée à clé) et donc la possibilité d'être découvert à tout moment, et les indéniables talents oraux de mon épouse ont fait que je n'ai pas résisté longtemps.

Après 3 ou 4 minutes de ce traitement, ma queue dans le fourreau humide de ses lèvres, une main dans ses cheveux et une malaxant ses seins, j'ai joui et lâché tout mon foutre dans sa jolie petite bouche. Comme à son habitude, elle a tout avalé en me regardant dans les yeux.

Je commençais à me rhabiller quand la porte s'est ouverte. Je me suis retourné, cachant ainsi involontairement Aiko. C'était Caroline, la maîtresse de maison, une jolie femme d'environ 35 ans, brune aux cheveux longs, qui, entendant mon râle de jouissance, a cru que, au contraire, j'étais malade et que je vomissais tripes et boyaux.

- Ca va?
- Euh, oui...
(dialogue un peu con, mais dans ce genre de situation, difficile de faire du Michel Audiard)

A ce moment, elle a vu Aiko qui s'était relevé derrière moi et qui rabaissait sa jupe. Caroline s'est mise brusquement à rougir, sans que je sache si elle était offusquée ou excitée.

Après quelques secondes de silence durant lesquelles aucun de nous trois n'a osé bouger, Aiko est passée devant moi et j'ai alors vu ce que beaucoup d'hommes rêvent de voir dans leur vie. Elle s'est mise tout contre Caroline, l'a regardée dans les yeux, comme un défi, puis a lentement pris son visage entre ses mains, et lui a roulé le plus beau patin entre femmes que j'ai vu de ma vie. Elle l'a alors à nouveau fixé dans les yeux, et Caroline, encore plus rouge que précédemment, est sorti en prétextant je ne sais quel raison, mais en pleine confusion.

Autant vous dire que ce petit intermède m'a donné envie d'en voir beaucoup plus.



01/01/08 à 13h41
En début de blog, j'ai dit que ma femme ressemblait un peu à Ai Nagase, actrice de films porno au Japon.

En fait, je viens de découvrir une actrice qui lui ressemble beaucoup plus, avec ce mélange d'air enfantin et de profinde perversité dans le regard, Ran Monbu. Je vous laisse juger par vous même de la beauté de cette actrice, qui, dans ses films, n'a peur de rien!

Miniature(s) jointe(s)


01/01/08 à 11h02
Je vous dois quelques explications.

Si j'ai publié beaucoup de billets aujourd'hui, c'est que ce blog existe depuis quelques mois sur d'autres sites de blogs (canalblog, blogspot, overblog).

Je viens de découvrir Voissa, j'ai donc décidé d'y faire aussi ici ce blog. J'ai donc commencé par rapatrier tous les articles déjà écrits.

A partir de maintenant, j'écrirai au fil de mes envies, de nos expériences, de notre vie...sexuelle bien sûr!

01/01/08 à 10h57
Même avec nos problèmes de couple, j'ai décidé de continuer ce blog, et ainsi poursuivre l'évocation de notre sexualité.

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Un achat compulsif, c'est quand vous achetez quelque chose dont vous n'avez pas besoin, ou que vous ne pouvez pas utliser. Notre lit n'ayant pas de montant, pas de barreau, on peut donc dire que l'achat d'une paire de menottes fut un achat compulsif.

En revanche, nous avons aussitôt utilisé le vibromasseur. A peine rentrée à la maison le soir, Aiko a déballé son "cadeau", l'a lavé, et est allée avec dans la chambre. Elle s'est déshabillée, s'est allongée sur le dos, et après s'être manuellement caressée pour être sûre d'être assez mouillée pour s'introduire le gode, a commencé à le rentrer centimètre par centimètre, en fronçant un peu des sourcils, ce qui m'a fait comprendre que la pénétration n'était pas si facile que ça.

Puis, une fois sa chatte habituée au diamètre, elle à commencé à se branler avec. La voir offerte comme ça, se donner du plaisir avec notre nouveau jouet m'a rendu dingue, j'ai enlevé mon jean, et me suis approché d'elle pour mettre mes genoux de part et d'autre de son visage, et lui mettre ma queue dans la bouche.

Ce n'était pas facile pour elle, concentrée à la fois sur le gode et la fellation que je lui imposais, c'est pour cela que j'ai vite pris mon propre rythme, sortant de temps en temps mon sexe de sa bouche, pour la faire souffler (Aiko, pas mon sexe), et lui badigeonner le visage de mon gland, et recommençant le viol de sa bouche de plus belle.

Quelques minutes ont suffi à me faire exploser dans sa bouche, et me finir sur son visage, dans ses cheveux...décidemment, c'était la journée éjac' faciale! Elle a joui presque en même temps que moi, hurlant sa jouissance au moment où je finissais de me déverser dans ses cheveux. Voilà un objet déjà bien rentabilisé.

Comme je vous l'ai déjà dit, Aiko ne peut pas se passer de la masturbation, aussi remplie soit notre vie sexuelle. Je pourrais m'en offusquer, mais c'est comme cela qu'elle obtenait jusque là ses orgasmes les plus puissants.

Et puis le spectacle de la voir se donner du plaisir, soit en s'éxhibant devant moi, soit en la surprenant dans la salle de bain, dans son bain, est une des plus belles choses qui m'ait été donné de voir.

Non content de devenir le deuxième amour de ma jolie coquine, le gode nous était d'une autre utilité, à savoir figurer un troisième partenaire fictif. Un jour que je la prenais en levrette sur la moquette de notre chambre, je lui tenais les épaules pour rythmer mes coups de rein, elle a tourné son visage, sa bouche grande ouverte, semblant attendre quelque chose.

J'ai libéré une de mes mains,et je lui ai mis deux doigts dans la bouche (le majeur et l'index), qu'elle s'est mise à sucer concenscieusement. J'ai alors eu l'idée d'aller chercher le gode, son "oh" de dépit quand je suis sorti d'elle s'est vite transformé en sourire coquin en me voyant revenir avec le sextoy.

Comme elle n'avait pas bougé, elle était toujours à quatre pattes, son joli cul dressé attendant la pénétration, je suis revenu derrière elle, et j'ai remis ma queue dans son sexe. Une fois le rythme repris, et retrouvés les halètements qui me prouvaient qu'elle commençait à apprécier la séance, je lui ai donné le gode à sucer, comme si un autre homme se tenait devant elle pour lui prendre la bouche pendant que je la baisais par derrière.

Cette évocation m'a tellement excité que j'ai joui d'un coup, et bruyamment. Comme elle n'avait pas eu le temps de jouir de son côté, j'ai repris le gode que je lui ai enfoncé dans la chatte, et je l'ai baisée par objet interposé, jusqu'à son orgasme. Puis on s'est effondré sur la moquette, côte à côte.

Une fois nos esprits repris, nous nous sommes regardés, et visiblement nous pensions à la même chose. Il était temps de passer à l'étape suivante dans notre découverte d'une sexualité de plus en plus débridée (sans mauvais jeu de mots sur l'origine ethnique de ma femme).

01/01/08 à 10h57
Toujours pas de nouvel article. Il faut dire que notre couple a connu une zone de turbulence, dont nous ne sommes pas tout à fait sortis.

Ma femme m'a trompé. Bon, je sais que notre vie assez débridée, que j'ai commencé à vous décrire dans ce blog, devrait m'ôter toute jalousie.

Seulement voilà, notre relation est basée sur la confiance. On peut baiser avec d'autres, inviter d'autres personnes dans notre lit, voir avoir un coup d'un soir, mais on se dit tout, quand on ne le fait pas ensemble.

Aiko a vu un homme plusieurs fois, et je l'ai découvert par hasard. Voilà.

J'espère que nous allons surmonter ça, j'avoue que j'ai eu du mal à encaisser le coup. Alorsn peut-être à bientôt.

01/01/08 à 10h56
La semaine est passée hyper vite, entre nos balades dans Paris (le Pont des Arts, le Louvres, Montmartre, le Belvédère du parc des Buttes-Chaumont. Tous les endroits romantiques!) et nos séances de cul (moins romantique, mais aussi délectables). Mais de sodomie point. Je ne vais pas dire que ça m'obsédait, mais depuis sa séance de "je me mets un doigt dans le cul pour te faire comprendre que j'aimerais bien que tu m'encules", je ne pensais pratiquement qu'à ça, et je me chargeais d'ailleurs de lui faire comprendre.

A chaque fois que nous baisions, et que je la léchais, je risquais ma langue sur son anus, quand je la caressais, j'y glissais un bout de doigt, mais elle repoussait ma main à chaque fois. Pour la première fois je me surpris à penser qu'Aiko était peut-être, par certains côtés, une diabolique allumeuse.

Le dernier jour de ses vacances, elle me demanda d'aller au cinéma l'après-midi, mais sans elle. Ca me mit un peu en rogne, car je ne voulais pas perdre une minute des derniers moments avec elle. Mais elle se fit convaincante (peut-être le fait qu'elle avait ma bite dans la bouche au moment de me le demander m'a-t-il aidé à être plus malléable).

Le jour dit, j'allais donc au cinéma, avec pour consigne formelle de ne pas rentrer avant 20h. De retour chez moi vers 20h20, je la trouvais nue sur le lit, entourée de bougies, à quatre pattes, le visage face au caméscope (comme je n'avais pas pris mes clés, j'ai du sonner à l'interphone pour qu'elle m'ouvre, comme cela elle a pu se mettre "en position" pour le moment où je suis entré dans l'appartement).

Je fis le tour du lit, pour l'embrasser, et lui demander pourquoi elle avait mis la caméra face à son visage d'ange. Elle me répondit qu'elle voulait voir ses souffrances quand je lui rentrerai ma queue dans les fesses. Délicieux, non? Je me déshabillais en 4 secondes chrono, et venais derrière elle. Elle avait pris soin de mettre un tube de gel sur la table de nuit, elle pense vraiment àtout!

Je me suis d'abord agenouillé derrière elle, pour lui parcourir la rondelle du bout de ma langue. Quand elle a été bien humectée, j'ai commencé à entrer un doigt doucement, le petit doigt pour être précis. Instinctivement, elle a eu un mouvement pour se dérober, mais de la main droite passée sous son ventre, je l'ai reculée brutalement, ce qui a eu pour effet de rentrer mon doigt, que j'avais au préalable enduite de gel tout comme son trou du cul, d'un peu plus d'un centimètre. J'ai vu sur son visage à ce moment là un mélange de souffrance, ses sourcils se sont froncés, d'étonnement devant ma brusquerie et de contentement. Elle aime être "malmenée", gentiment , j'allais m'en rendre compte très vite.

J'ai oubliéde vous dire que, dans son installation, elle avait branché le camescope sur la télé, de façon que je puisse voir les émotions sur son visage pendant son dépucelage anal. Elle, de son côté, ne pouvait voir la télé. Profitant de ce moment, j'ai enfoncé plus loin, sur environ 5 centimètres, mon doigt dans son cul, et j'ai attendu quelques secondes. Sa respiration se faisait plus lourde, sa bouche était ouverte, elle accusait le coup.Puis j'ai remué mon petit doigt, de façon circulaire, pour habituer l'étroit tunnel à cette présence non naturelle. Elle accompagnait ces mouvements de bassin similaires, elle commençait à apprécier la pénétration.

J'ai ressorti alors lentement mon doigt, pour le réenfoncer, et ce 4 ou 5 fois de suite. J'ai changé de doigt, pour cette fois lui mettre le majeur, qui est rentré assez facilement, premier signe d'une fille qui va aimer la sodomie, son anus s'habitue vite à des diamètres de plus en plus gros (pas trop quand même, il nefaut rien exagérer).

J'ai entré et sorti mon doigt plusieurs fois, pendant une à deux minutes, et elle a commencé à gémir peu à peu.C'est elle qui a arrêté ses préliminaires, en me retirant la main qui était plongée entre ses fesses. Un peu surpris, j'ai eu un mouvement de recul. Elle s'est alors appuyé du côté gauche de la tête sur le lit, libérant ainsi ses mains qu'elle a posées sur ses fesses, et les écarter laissant son trou du cul bien ouvert à la future pénétration. "Put your dicknow in my ass, I'm ready, and fuck me hard!". Elle adore parler cru quand on baise, ou même avant qu'on baise, et ça m'excite à mort.

Je me suis redressé, j'ai avancé mon bassin pour être en contact avec son cul, et je l'ai pénétrée fermement, sans brutalité mais sans hésitation. Elle a eu un râle, mêlé de souffrance et de plaisir. La suite est banale, je l'ai enculée pendant une dizaine de minutes, elle s'est redressée pour reprendre appui sur ses mains, pour que je vois son visage d'ange face caméra pendant qu'elle se faisait prendre par derrière.

Je lui caressais les seins, la prenais par les épaules pour lui donner de violents coups de rein. Je me suis même penché en avant, pour tourner sa tête vers le côté et lui enfourner un doigt dans la bouche, qu'elle a sucé comme une bite. Je me suis alors pris à imaginer un autre homme lui baisant la bouche par devant, lui maintenant la bite au fond de la bouche en mettant sa main sur sa nuque, jusqu'à lui éjaculer au fond de la gorge.

J'ai joui rapidement, en m'enfonçant une dernière fois dans son cul, on a du m'entendre dans tout l'immeuble. Elle, de son côté, elle me l'avoua après, n'a pas joui, mais a adoré cette séance anale, et m'a promis de m'offrir son charmant joli petit cul très régulièrement. Une vraie chienne en chaleur, cette asiatique! Je ne sais pas si il y en a beaucoup comme ça au Japon, mais dans ce cas, j'aimerais bien rencontrer ses copines! )

01/01/08 à 10h55
Quelques jours après cette très excitante séance de webcam, Aiko m'a annoncé une autre excellente nouvelle. Elle viendrait une semaine en juin, accompagné d'une amie (prétexte pour ses parents), mais la copine en question, qui était dans la confidence, se débrouillerait seule pour visiter Paris. Aiko et moi aurons bien d'autres choses à faire. )

La connaissant, j'étais sûr qu'elle allait me proposer un plan à 3, mais je me trompais. Ce n'est que partie remise. Je suis allée la (les) chercher à Roissy très tôt le matin, levé à 5h, Roissy à7h. Au milieu des passagers, après une quarantaine de minutes d'attente, je vois ma chérie arriver avec sa copine, bien moins jolie qu'elle (finalement, pas de regret pour le plan à trois, quoique ça m'aurait bien fait triper). Elle me saute dans les bras, m'embrasse passionnément, devant sa copine un peu gênée.Visiblement, toutes les japonaises ne sont pas aussi délurées que ma petite salope.

Une fois dans la voiture, Aiko à l'avant et Rie, sa copine, à l'arrière, elle pose sa main sur ma cuisse, et la fait lentement glisser vers mon entrejambe. Elle est à peine là depuis 15 mn, et déjà elle me rend fou. Nous déposons Rie à son hôtel, dans le VIème, vers Odéon, et on file chez moi, dans mon studio du XIXème arrondissement. Durant non longs mois de séparation, nous avions chacun fait le test HIV, pour pouvoir nous affranchir du préservatif, sous toute peu commode (quoique, quand c'est une fille comme elle qui me l'enfile avec sa bouche...ça a ses avantages!).

Là, une fois arrivés chez moi, elle a sorti de sa valise un caméscope numérique dernier cri (pas de pub, mais c'était un Sony), avec le trépied qui va avec.Elle a, comme d'habitude, pensé à tout. Elle s'est déshabillée (en restant toutefois en sous-vêtements), et est allée sous la douche, en m'en interdisant l'accès. Toujours la même tactique, me rendre encore et toujours plus fou.

Après quelques éprouvantes minutes d'attente, elle est ressortie de la salle de bain, toujours en sous-vêtements (d'autres, évidemment), petite culotte helloKitty et soutif blanc en dentelle. Un régal. Je suis allé à mon tout prendre ma douche, pour être propre, frais et dispo pour baiser ma belle.

Quand je suis revenu dans la chambre, Aiko dormait à poings fermés sur ma couette. Il n'y a rien de plus touchant que de regarder la femme qu'on aime dormir, c'est pour cela que je me suis que ce serait une bonne idée de prendre sa caméra pour la filmer, et garder ces images là précieusement. J'ai donc voulu vérifier qu'il y avait une K7.

Il y en avait bien une, mais légèrement entamée. Curieux comme pas deux, je l'ai rembobinée pour la lire. D'abord la salle d'embarquement à Tokyo Narita, où elle a attendu l'avion pour Paris CDG. Ensuite un gros plan d'Aiko, visiblement dans l'avion, la nuit (il faisait sombre, et je n'entendais que le bruit des réacteurs), qui me sussurrait "I can't wait to see you, I have to ease myself."Puis, Aiko dans les toilettes, en contreplongée (vue "de haut").

Elle tenait le caméscope d'une main, à bout de bras, d'où l'image tremblante. De l'autre main,T-shirt et soutif relevés, jean et culotte baissés, elle se branlait. Je vous l'ai dit dans la brève présentation que j'ai fait d'elle, Aiko est une fervente adepte de la masturbation, à la main, avec un gode (on l'a vu précédemment), avec des fruits ou légumes, elle adore se faire jouir. Même dans les périodes où elle baise tous les jours, voire plusieurs fois par jour, il faut qu'elle se branle, c'est plus fort qu'elle.

Son séjour commençait fort.

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